Le plus dur, c'est de s'y mettre !
La peur de la page blanche, voilà ce qui fait peur à tous les écrivains. Je n'y échappe pas ! J'ajoute à ça la peur très simple d'écrire une histoire minable et de ne plus faire que ça ! Pourtant, hier, je me suis lancé, presque sans réfléchir dans ma petite série (dont il me tarde de tout vous dire !) et j'ai achevé la première partie, celle qui vous sera révélée la première semaine de septembre ! J'ai écris comme ça, comme ça venait. Je me sentais quitté par des mots, des phrases, des scènes. Un vrai bonheur qui ,en fait, est épuisant ! Je me souviens quand, à 14 ans, j'écrivais mes premiers poèmes. Après chacun de mes petits textes, je me sentais vidée et épuisée. Fière aussi, il faut bien le dire. Aujourd'hui, j'arrive à poursuivre l'écriture (ce qui m'a mené de la poésie aux nouvelles et peut-être un jour de la nouvelle au roman et du roman à la saga !) mais je me sens toujours aussi fatiguée. Étrange sensation ! Il faut dire que l'écriture (au moment où je le fais je veux dire) est la seule chose qui me "prend" tout entière ! Je n'ai mal nul part, ne pense et ne voit rien d'autre !
Enfin, écrire sur ce blog est pour moi l'occasion de repousser l'écriture de la partie deux. Grosse erreur ! Je dois m'y remettre immediatement. Le plus dur, c'est de s'y mettre... chaque jour !